ACTIONS
La programmation des interventions que nous proposons vise d’allier découverte, qualité et diversité // remettre en cause la façon dont l’homme agit au milieu de son environnement. La richesse des intervenants et de leurs bagages, peut offrir une source d’inspiration pour réfléchir à des questions souvent mises de coté, comme par exemple…
Les Devoirs et les Droits du citoyen aujourd’hui; Les formes de discriminations; La place des femmes dans le monde actuel; Dérèglement climatique et transition énergétique; Qu’est ce que l’esclavage aujourd’hui ?; Mondialisation et traditions locales; Quelle économie pour une société humaine et durable?; Education et société; Projection sociale au moyen et à long terme; Reconsidération de la richesse; La Constitution européenne, cela existe?; Prévention et cohésion sociale; Politique et économie circulaire; Arts critiques; Les Devoirs de l’être humain; Respect pour la planète et développement durable; Ressources de la planète et système économico-industriel; Tourisme de masse; L’effondrement de la biodiversité; Protection Animale; Rapport Homme/Nature; Sauvegarde des Espèces; Accueil et Solidarité pour les Réfugiés…
Respect du Vivant
Notre Environnement
Les disparitions d’espèces ont été multipliées par 100 depuis un siècle, soit un rythme sans équivalent depuis l’extinction des dinosaures il y a 66 millions d’années. Le cocktail mortifère est désormais connu : destruction des habitats – sous l’effet de l’agriculture, de l’élevage, de l’exploitation du sous-sol – chasse et braconnage, pollution et changement climatique.
Cette disparition à petit feu de la faune, de même que celle de la flore, s’accompagnera de conséquences « catastrophiques » pour l’ensemble des écosystèmes, avertissent les chercheurs, mais aussi de désastres écologiques, économiques et sociaux.
Car les milieux naturels rendent des services aussi nombreux qu’essentiels, qu’il s’agisse de la pollinisation, de l’amélioration de la productivité des terres, de l’assainissement de l’air et de l’eau ou du stockage du CO2. La capacité de la Terre à entretenir la vie, y compris la vie humaine, a été façonnée par la vie elle-même.
Le temps est compté. « Deux ou trois décennies au maximum », assurent les scientifiques. Il en va de la survie de la biodiversité et du bien-être de l’humain.
CONFÉRENCE 1: QUEL NOUVEAU CONTRAT SOCIAL AVEC LE VIVANT ?
L’appétit insatiable des humains pour la création de richesses économiques a pour corollaire l’extinction systématique du vivant. Dans sa soif de progrès, la science touche désormais aux principes créateurs de la vie.
Ces atteintes irrésistibles à la biosphère rendent indispensable un nouveau contrat avec la nature. Notre communauté́ de destin nous y oblige.
Depuis quelques années, la reconnaissance des droits de la nature permet à des fleuves, à des montagnes et à des glaciers de plaider eux-mêmes leur cause par l’intermédiaire de leurs représentants. Sous la pression de l’opinion publique, les animaux non humains gagnent eux aussi progressivement le statut de sujets de droit, remettant profondément en question notre vision anthropocentrique du monde.
La sauvegarde de l’habitabilité de la Terre viendra-t-elle d’un nouveau cadre juridique ?
Pas d’écologie sans le partage!
Dans les années à venir, le changement climatique conduira à une dégradation des terres et à une raréfaction des ressources en eau. Les terres agricoles disponibles pourraient diminuer fortement d’ici à 2050, quand l’écart entre les besoins en eau et les ressources disponibles pourrait atteindre
40 % dans les deux prochaines décennies. Pour de nombreuses populations du Sud dont l’agriculture demeure l’unique moyen de subsistance, la difficulté croissante à trouver de l’eau et des pâturages verts génèrera irrémédiablement des tensions et provoquera famines, conflits et crises politiques.
La question climatique se révèle ainsi comme un facteur majeur de déstabilisation et de migrations dans le siècle en cours. D’ici à 2020, 60 millions de personnes pourraient migrer des parties dégradées de l’Afrique sub-saharienne vers l’Afrique du Nord et l’Europe.
D’ores et déjà une moyenne d’environ 25 millions de personnes sont déplacées chaque année pour cause de catastrophes naturelles, dont plus de 80% le sont en raison d’événements hydroclimatiques (tempêtes, inondations, érosion des côtes, etc.). Cet afflux de migrants et de réfugiés poussés par la désespérance pourrait préfigurer les migrations des décennies à venir,
quand les peuples d’Europe et d’ailleurs seront eux-mêmes contraints à l’exil sous l’effet du réchauffement climatique. Alors si tout n’est qu’une question de temps, comment refuser aujourd’hui à ceux qui demandent notre aide celle que nous solliciterons à d’autres demain ?
CONFÉRENCE 2: TOUS MIGRANTS
DEVOIR DE SOLIDARITÉ.
85 % des événements climatiques extrêmes qui poussent les populations à l’exil sont désormais liés au réchauffement climatique. C’est une donnée nouvelle.
Les changements environnementaux sont ainsi devenus l’un des principaux facteurs, sinon le principal, de migrations et déplacements de populations dans le monde.
Inondations violentes, typhons meurtriers, assèchement de points d’eau, montée du niveau de la mer… ces événements, dont la fréquence et l’ampleur sont renforcées par le changement climatique, contraignent déjà des millions de personnes à migrer.
Selon les estimations de l’ONU, 250 millions de personnes, seront, d’ici 2050, forcées de s’exiler à cause des bouleversements du climat.
A l’heure des replis identitaires et de l’édification de nouvelles frontières, comment favoriser l’acceptabilité de cet enjeu humanitaire et géopolitique majeur et inéluctable ?
Face aux drames migratoires, de nombreux citoyens manifestent leur désapprobation face à un devoir d’assistance aux populations menacées et au respect des droits fondamentaux qu’ils estiment bafoués. Alors que des milliers de personnes cherchent légitimement à fuir les guerres et la misère, et que les naufrages provoquant des centaines de morts, y compris d’enfants, des initiatives solidaires voient le jour ici et maintenant. Quelle est la situation aujourd’hui ? Comment être demain à la hauteur des flux massifs et exercer notre devoir de solidarité ?
CONFÉRENCE 3: VIRILITÉ et OPPRESSION FÉMININE
Et si, comme les femmes, les hommes étaient depuis toujours victimes du mythe de la virilité ? En faisant de la supériorité mâle le fondement de l’ordre social, religieux et sexuel, en valorisant la force, le goût du pouvoir et l’instinct guerrier, l’homme a justifié la domination masculine sur le « sexe faible », mais il s’est aussi condamné à réprimer ses émotions, à redouter l’impuissance et à honnir l’effémination, tout en cultivant le goût de la violence et de la mort héroïque. Et si les hommes avaient tout intérêt à se libérer de ce modèle normatif pour réinventer de nouvelles masculinités?
Aujourd’hui, en France et dans le monde, les femmes sont souvent dans des positions sociales et économiques désavantageuses vis-à-vis de l’autre moitié de l’humanité. Par exemple, en France, les femmes subissent davantage la précarité au travail et sont très souvent sous-payées par rapport aux hommes. Elles sont aussi gravement victimes de violence physique et psychologique dans toutes les classes sociales. Sans parler du sexisme, explicite ou sournois, dont les traces persistent avec le temps, apparaissant pour beaucoup comme une banalité, pas si grave au fond ! Nous observons aussi depuis quelques années une certaine remise en cause des acquis sociaux de la lutte des femmes, comme par exemple la remise en cause actuelle du droit à l’avortement et le démantèlement des planning familiaux.
Quelles sont les causes de cette subordination ? Nous détournant des causes « naturelles » de cette domination, il nous semble plus pertinent de les chercher dans les conditions de vie matérielles des individus. Alors, le capitalisme et l’apparition de la propriété privée sont-ils responsables de cet état de fait ? Ou en a-t-il toujours été ainsi, de tous temps et en tout lieux, dans des sociétés pré-capitalistes ? Autrement dit, trouve-t-on dans l’espace et dans l’Histoire, des sociétés dans lesquelles les femmes auraient eu une position dominante au coeur de sociétés matriarcales ? Ou, mieux encore, a-t-on connaissance de sociétés où femmes et hommes vivent de manière égalitaire ?
CONFÉRENCE 4: DEVOIRS et DROITS DE L’ÊTRE HUMAIN
Droits et devoirs : voilà deux notions qui paraissent en dehors de la modernité, au moins pour la seconde. Pour ce qui est des droits, on pense immédiatement aux droits de l’homme, et plus récemment à toute une série de droits dits « opposables » et qui font débat. Des devoirs on ne dit rien, ou presque rien, le mot répugne par son caractère contraignant, contrariant notre goût pour la liberté ; et on préfère l’évoquer indirectement à travers des notions comme la déontologie, la citoyenneté, l’éco-responsabilité ou la responsabilité juridique, etc.
La conférence Les devoirs de l’homme aborde les notions de droits et de devoirs sous l’angle existentiel.
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CONFÉRENCE sur le CLIMAT du 19/12/2019:
19h-20h30 : Conférence autour du CLIMAT FACE A L’EXTINCTION (HFX)
21h-22h30 : BIENVENUE aux nouveaux activistes
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– C’EST QUOI CETTE CONFÉRENCE autour du CLIMAT?
Cette conférence aborde avec lucidité les données scientifiques concernant le réchauffement climatique. Tout d’abord, accepter cet état de fait, puis entrer en action, ensemble, face à cette situation socio-environnementale.
Comme vous le savez, notre planète souffre…
Au cours de cette conférence publique, les orateurs d’Extinction Rébellion (XR) présenteront la dernière analyse rédigée par la « science climatique » sur l’orientation de notre planète.
En synthèse, les conférenciers expliqueront par quels moyens la science nous met en garde et pourquoi les risques sont sous-évalués au sein même du fonctionnement de la recherche scientifique…
Cette conférence fera comprendre à quel point les évènements actuels doivent être des leviers qui font passer à l’action, et par ailleurs, explique clairement la stratégie mise en place par le mouvement Extinction Rebellion…Les intervenants feront comprendre à quel point les événements actuels doivent être des leviers qui font passer à l’action, et par ailleurs, explique clairement la stratégie mise en place par le mouvement Extinction Rebellion France.
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– ACCUEIL DES NOUVEAUX :
Vous avez entendu parler d’Extinction Rebellion (XR) et vous envisagez de rejoindre le mouvement ?
Une présentation de :
– ses 11 principes
– ses 4 revendications
– la désobéissance civile non violente
– ses stratégies d’action (massification / escalade / …)
– des multiples manières de rejoindre les actions
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LIVRE D’OR
A l’entrée du lieu nous mettrons en place un « livre d’or » accessible à tous, separé en deux colonnes :
Les souhaits : propositions à la municipalité (propositions de culture régénératrice)
Les moyens : compétences, techniques, astuces, outils, savoirs être, savoirs faire, etc…
Les propositions plus pertinentes seront par la suite analysées et discutées aux suivantes réunions de notre association. L’objectif est d’élaborer un dossier “Projet d’initiative populaire” et en suite le soumettre à la municipalité locale.
Une gratiféria peut se comprendre comme un marché gratuit. Cependant, il s’agit plutôt d’une foire, voire d’une fête. Le principe est de donner gratuitement:
- des objets
- des services
- des performances artistiques
- des compétences
- des aliments
- des idées
Les participants peuvent se servir librement sans contrepartie. Contrairement à celui du troc, le système de la gratiféria ne repose donc pas sur l’échange matériel. Chacun peut s’approprier ce qu’il souhaite sans réciprocité systématique. La gratiféria peut présenter une alternative à la logique du capitalisme.
(source wiki)
L’idée est simple, il s’agit de donner le superflu sans rien attendre en retour, pour que plaisir d’offrir ne rime pas avec consommation effrénée.
Imaginez un instant une brocante ou derrière chaque étal vous seriez accueillis par un : « Servez-vous, tout est gratuit ». À première vue, l’idée peut faire sourire… Pourtant, ces marchés existent bel et bien à Buenos Aires, où ils ont lieu de façon régulière depuis 2010.
Baptisés gratiferias, ces événements ont vu le jour grâce à Ariel Bosio, un jeune argentin lassé de devoir transporter ses possessions de déménagement en déménagement. Il explique: « J’ai découvert que je pouvais vivre avec moins d’affaires que ce que je possédais et que c’était surtout une question d’habitude ».
Après avoir offert son “surplus” aux amis de son école d’arts martiaux, Ariel crée le concept de gratiferias, qui se répand d’abord à travers les centres culturels de la ville avant de conquérir les places publiques.
N’importe qui peut organiser un gratiferia, à la seule condition que le lieu soit public, ouvert à tous et qu’aucun droit d’entrée ne soit exigé. Avec un message simple: “Amenez ce que vous voulez, ou rien du tout. Repartez avec ce qui vous plaît”.
Les gratiferias sont avant toute une invitation à se débarrasser de possessions matérielles devenues inutiles ou superflues, afin qu’elles circulent et profitent à d’autres.
Aux objets qui se trouvent habituellement sur un marché d’occasion, tels que vêtements, livres, meubles ou appareils électroniques, sont venus s’ajouter des biens immatériels. Les gratiferias sont aussi l’occasion de concerts, d’ateliers de toutes sortes, de projections cinématographiques ou encore de séances de massage. Bien sûr, toutes ces activités sont proposées gratuitement.
Claudia Cordobes organise des marchés gratuits à San Fernanda, dans la province de Buenos Aires et s’amuse des réactions du public: “Ceux qui viennent pour la première fois à un gratiferia le font par curiosité, un peu surpris, pour vérifier que tout est vraiment gratuit, comme on le leur a raconté”.